Loin d’être terminé, le problème du clapage continue. Avec ces 70 000m³ déversés, les boues issues du dragage du port continue de troubler allègrement le paysage, sa qualité, ses usages et la santé de chacun.
A l’heure où la concertation doit être maîtresse, force est de constater que la situation est en complet statu-quo et que le choix de faire durer l’insupportable ne peux que conforter les tenants d’une solution bien meilleure (il suffit de constater les dégâts pour honnêtement s’y ranger !). Rappelons tout de même que des problèmes de santé existent réellement, que les rejets doivent respecter des normes et que les solutions existent toujours pour peu que l’on se donne les moyens de les chercher. Jacques, le Gardien de la Côte, avec toute l’équipe est ouvert au dialogue et l’a déjà maintes fois démontré. Par ailleurs, ce problème s’est déjà posé en d’autres endroit est a été résolu. Saint-Gilles-Croix-de-Vie n’est pas un cas extraordinaire. Il suffit de le vouloir.
Notons également que l’espace littoral et maritime appartient à chacun et que son partage doit s’organiser comme le prévoit la directive européenne sur le sujet (Directive Maritime Spatial Planning – DIRECTIVE 2014/89/EU)
Il existe des solutions mais, pour cela, il s’agirait que les autorités, notamment les autorités portuaires, se saisissent de la question au lieu de faire sourde oreille. Ces derniers en effet se borne à nier toute pollution… …sans effectuer la moindre mesure.
Saluons ici, tout ensemble le combat qui est mené avec force et conviction par Jacques et remercions surf-report pour son article sur le sujet que nous vous invitons tous à diffuser autour de vous, et notamment, à destination des autorités responsables.
Inondés de boues putrides contre inondés de messages…
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